Partager l'article ! Recit de salope n°1: A 20 ans, j’ai foutu le camp de chez mes parents, j’ai quitté ma campagne natale pour sillonner les routes de France e ...
A 20 ans, j’ai foutu le camp de chez mes parents, j’ai quitté ma campagne natale pour sillonner les routes de France et d’Europe. Un chauffeur routier ma passé le collier, je lui sers de pute, sur les parking autoroutier, la nuit, il m’offre aux autres routiers présent.
Cela à commencer il y a quelques années en arriéré, dans la Creuse, des routiers avait garés leurs camions sur un parking de la nationale 145, chose habituelle, il y a toujours des routiers qui stationnent là, à deux pas de chez moi. Un soir je suis passée à vélo sur ce parking et l’un des routiers m’a interpellé. Il était avec deux autres routiers, je me suis arrêtée pour voir ce qu’il me veut. Le routier, sans gêne, m’a saisi par la taille pour m’inviter à rejoindre les deux autres routiers, ça mains droite plotée mes fesses, je ne savais pas quoi dire, je me suis laissé faire sans parler et me retrouve vite au milieu des trois routiers qui sont devenus très entreprenant avec leurs mains. Comme toutes les gamines branchées, je portée un minirobe moulante noire qui a vite finis à mes pieds, mon string descendu jusqu’au genoux, les six mains me plotées toutes les régions intimes. Je ne sais pas pourquoi mais la situation m’excitée énormément, je me laissé faire et j’avais très envie de leurs sexes, sans m’en rendre compte, je leurs plotés la queue a travers leurs pantalons, c’étais plus fort que moi, la situation m’échappée, je n’arrivais plus à me contrôler. La première queue à l’air, je me suis jetée dessus pour la prendre en bouche, debout, courber en avant, je sucée pendant que les deux autres routiers me plotés et me doigter la chatte et le cul. Le routier que je sucée et passé derrière moi avec ça bite bien raide et a commencé à me baiser la chatte, j’ai pris la queue d’un autres routiers en bouche, j’étais prise en tournante, excitée comme une malade, j’en demandée. Mon cul fut d’abord lubrifié, forcer et dilater à pleine mains avant d’être défoncer sauvagement par leurs grosses queues, ils se sont vider tous les trois dans ma bouche. C’étais ma première rencontre avec Marc, le chauffeur routier. Depuis ce premier jours, je revoyais Marc, trois ou quatre fois par mois, toujours avec d’autres routiers, de deux à six routiers l’accompagnés à chacun de ces passages. Il me téléphoné et je rappliquée comme une chienne pour lui servir de pute à lui et ces potes routiers, j’adorais ça, faire bander des hommes et leur vider les couilles étais devenus un besoin journalier pour moi, je me laissé draguer par le premier venu rien que pour ça bite, j’étais devenus une salope ou une pute comme bon vous plairas.
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